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3 mai 2011 2 03 /05 /mai /2011 16:24

La PSII pose la question : L’Égalité homme-femme, doit-elle exister dans un rapport de forces ?

 

D’après un article de la revue « Çà m’intéresse »,

Mai 2011, n°363 intitulé : « Égalité homme-femme : pourquoi çà coince ? »

 

Il n’existe pas de domination entre l’homme et la femme. Ce qui est vrai et incontournable, c’est la différence entre ces deux sexes.

La femme a des qualités, l’homme en a d’autres.

 

Cette notion  d’égalité demandée par de nombreuses femmes me fait penser chez elles à un sexe qui bande, qui est fort, puissant, dur mais qui est éphémère et toujours insatisfait.

Ce phallus tant convoité est toujours prêt à pénétrer, « voire enfoncer et amener l’autre à raser les murs ». L’autre, cet homme, représentation de l’extérieur. A long terme, sa rencontre n’est jamais satisfaisante.

C’est pourtant ce sexe que ces femmes en manque brandissent à travers leurs revendications. N’oublions pas que le phallus de la femme est beaucoup plus petit et que son clitoris ne sera jamais à la hauteur du sexe et de la force physique de l’homme. Cette histoire humaine dans sa différence physiologique a toute sa place.

 

Ce n’est pas un problème ! La femme pleinement consciente de son vagin ne le vit pas uniquement comme un endroit à procréer ou permettre à l’homme de s’y masturber ! Cette femme intègre sa dimension sacrée, sa profondeur féminine, son intelligence subtile et intuitive.

 

Enfin, cette femme, avertie de la valeur et de sa force autre que physique, matérielle ou sociale, est comblée. Cette intelligence si puissante fait d’elle une femme douce et pleine d’amour prenant la main de son homme et l’aide à avancer à son rythme.

 

Ne nous y trompons pas, la femme apparemment en retrait agit en profondeur et renforce l’homme dans son identité et son affirmation.

L’homme pénètre la femme de son phallus, la femme le pénètre de son intelligence subtile.

La femme devenue complémentaire de l’homme n’est plus en rapport de force et n’est plus sa rivale. L’homme sera fier de cette femme devenue femme respectueuse d’elle-même. Il aura envie de la mettre en avant. Ce comportement  de l’homme respecté n’est plus une convention superficielle vis-à-vis de la femme mais bien un moyen qu’il lui offre pour s’exprimer dans ses différents rôles.

 

Rien n’empêchera cette femme de travailler à l’extérieur, de prendre des responsabilités.  Cette prise de pouvoir sain ne lui donnera pas l’occasion de détruire sa féminité. Profonde dans tous les domaines et non superficielle le plaisir de cette femme ne sera pas uniquement le plaisir d’un petit phallus clitoridien, mais bien d’un orgasme vaginal.  Cette partie du corps, cette profondeur féminine, bien vivante, comble la femme dans sa féminité.  

 

Le combat des stéréotypes sexistes n’a plus sa raison d’être. La femme dans cette conscience contribue à l’arrêt de la guerre sous toutes ses formes.

La femme dans son rôle de mère ne connait pas tous les avantages que lui offre sa féminité. C’est pourquoi, elle compense cette absence par des revendications ou subit ses rôles féminins.

Ces femmes par ignorance sous estiment les bienfaits et la différence ressentie par l’enfant nourri au sein plutôt qu’au biberon, un contenant en plastique dur.

 

 Il n’est pas question pour la PSII de réduire ou de poser la femme en victime  ou dans un rôle uniquement maternel. La femme est un être humain capable de se responsabiliser et d’envisager d’être une femme progressiste sans être castratrice ou jouer du «  victimythe » (le mythe de la victime).

 

La femme de par son cycle hormonal est plus émotive, donc plus hystérique que l’homme, une fois de plus ce n’est pas une tare d’être une femme, c’est physiologique.

 

Le constat actuel, c’est que les enfants dans ce mélange des cultures, des races, des religions, des pensées ne s’y retrouvent pas.

Les divorces, l’inversion des rôles pour la mère devenue plus masculine et l’homme par compensation plus féminin et castré par sa mère rend les  enfants violents.  Autant d’incompréhensions poussant les adolescents à prendre des drogues plus dures…Ces comportements ont pour origine ces dépendances inconscientes parentales et structurales.

 

Il y suffisamment de faits qui sollicitent aujourd’hui la femme, l’homme, les grands parents à changer ces différents rôles longuement vécus et dont les résultats ne sont pas brillants...

 

Il est venu le temps de passer de l’état de victimes ou de parents dans la culpabilité à l’adulte responsable. Chacun a fait en fonction de ses moyens. Ils furent aussi ceux des généalogies d’avant. Beaucoup de structures soit sociales, économiques ou politiques ne conviennent plus à ces nouvelles générations et elles nous le montrent à leur manière...  

 

 

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